Dies irae, dies illa solvet saeclum in favilla – (Jour de colère que ce jour-là où le monde sera réduit en cendres)
Reflets d’Acide, opus treizième : son titre est emprunté au Requiem de Mozart…
Un épisode fleuve aux parfums vénéneux, qui distille et instille quelques sombres instants au milieu de classiques inflexions parodiques ! La quête guillerette, qui fut sans queue ni tête, s’est désormais changée en terrible menace… En voici les chapitres :
- Du volcan au gouffre
- L’Ivresse des enfers
- Près du Tribunal
- Valse des Secrets
- PartIr seul à l’aventure
- Memoire de l’oie
- Choix d’avenir déclamé
- La prière lava le sol
- La vérité détend les buveurs !
- Immaculés sans être ménagés
- Et Il partit au galop
- Sains et sauf-conduit
- Il défia la dragonne
- Les clarifications emportées
- L’appel vida la taverne
- A la dernière porte
- Sentence latente en attente
- Ouverture lugubre au fond du gouffre
- Le gouffre maudit
L’épisode maudit est donc enfin fini ! S’il s’agissait d’un acte d’une pièce de théâtre, à n’en pas douter, ce serait l’acte 2… Il s’y joue un effet « miroir » entre le préambule et le final… Normal qu’il y en ait un : n’était-il point question, dans cette aventure, de percevoir divers « reflets » ?!
Le côté « crépusculaire » pourrait en surprendre plus d’un… mais « jouer » avec les contrastes et les clairs-obscurs (qui sont parfois plus « clerc » qu’obscur… ! ) nécessitait que tous les pions de l’échiquier soient mis en place…
Enfin… j’ose m’adresser directement à vous, auditeur / auditrice, qui lisez cette présentation : prenez le temps d’écouter… au calme et en fermant les yeux l’épisode à venir ! Votre seule mission (si vous l’acceptez…) sera de faire jouer votre imagination sur cette bande-son !
Côté musiques, elles sont issues des géniales compositions de Hermann, G. Fauré, J. Williams, J. Debney, D. Elfman, Bill Brown, E. Bernstein, Christophe Beck, Nicholas Hooper, Alan Silvestri, Dario Marianelli… et bien sûr, MOZART ! Bonne écoute et… la suite au prochain épisode… MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !
Petites connexions, j’ai pensé à vous ! Voici l’épisode en deux parties :
Lorsque Pétulia enregistre Travia et qu’elle doit recommencer plusieurs fois
(il paraît que je suis un petit peu pointilleux… si si ! ), eh bien ça donne ça :
Bonne écoute de l’épisode !
Foufix
Bonjour cher JBX, et tout d’abord merci de nous régaler avec cette merveilleuse saga depuis tout ce temps. Ecoutant déjà cette saga depuis au moins 6 ans (certes moins longtemps que la plupart des autres auditeurs, mais quand même), j’apprécie beaucoup tout le travail d’écriture, entre les jeux de mots, les alexandrins et les rimes endiablées on a de quoi se régaler.
L’un des points que je trouve sympathique dans ce travail d’écriture est celui du titre de l’épisode caché dans les titre des chapitres. Dans les épisodes 14, 15 et 16, ils sont relativement faciles à trouver, il suffit de prendre les premières et dernières lettres de chaque chapitre en acrostiche mais j’ai aussi récemment trouvé que le titre de l’épisode 13 était lui aussi caché parmi les titres de ses chapitres, mais de manière beaucoup plus efficace (et tarabiscotée) :
Tout d’abord pour les 9 premiers chapitre on fait ainsi : on prend la 1ère lettre du premier, la 2ème du deuxième, et caetera jusqu’au neuvième chapitre où on prend la 9ème lettre. On a ainsi « Dies irae d »
Puis on prend la première lettre des chapitres 10 à 19 (relativement plus simple pour le coup, il ne s’agit là que d’un simple acrostiche), nous avons ainsi « ies illa sol)
On revient ensuite au 9 premiers chapitres : on prend la 3ème lettre du premier chapitre, puis à chaque fois qu’on passe au chapitre suivant, on ajoute « +2 ». On prend ainsi la 5ème lettre du deuxième chapitre, la 7ème du troisième, la 9ème du quatrième, et caetera jusqu’au neuvième chapitre où on prend, si on a bien compté, la 19ème lettre. On obtient ainsi « vet saeclu »
Enfin, on va au dixième chapitre où on prend la 2ème lettre, puis à chaque fois qu’on passe au chapitre suivant, on ajoute « +1 ». On prend donc la 3ème lettre du onzième chapitre, la 4ème du douzième chapitre, la 5ème du treizième, et caetera jusqu’au 19ème chapitre où on prend la 11ème lettre. On obtient donc « m in favilla ».
On met bout à bout ces 4 parties, on a donc « Dies irae, dies illa solvet saeclum in favilla ». Voilà, j’avais prévenu que c’était tarabiscoté. Tellement tarabiscoté qu’on pourrait penser à une coïncidence, mais dans ce cas-là, quelle coïncidence !
Du coup je me demandais cher JBX, si c’était une coïncidence ou bien un effet désiré ? (Et si c’était voulu, suis-je le premier à m’en rendre compte ? Je n’ai trouvé nul part où ce détail était explicité.)
JBXAuteur de l'article Administrateur du site
Merci pour ton message ^^
En fait, depuis l’épisode 11, j’avais mis en place un jeu avec les auditeurs de mon forum : il fallait retrouver les titres des chapitres (anagrammes) et par un système d’acrostiches, on pouvait découvrir le titre de l’épisode et gagner le droit d’écouter l’épisode avant tout le monde ! Celui de l’épisode 11 est une anagramme cachée puisque « L’elfe et la prison brisée… » est en réalité « Et le fils libéra son père… » puis les acrostiches de début et de fin des chapitres complètent le titre… « Démoniaque / de son antre » !
Rackman
Bien le bonjour JBX, ceci est mon premier commentaire sur ton site.
Sache que je te suis depuis presque le début de ton aventure et j’apprécie toujours autant cette saga que je considère comme la meilleur.
En ré-écoutant cette aventure audio depuis le début afin de pouvoir comprendre le dernier épisode (depuis le temps qu’on l’attendais :d) j’ai remarqué quelque chose, d’où le but de mon message, quand Kyo passe devant les vieux machins après avoir entendu sa sentence, j’ai l’impression que l’on entend la voix du spectre que Zarakaï a libéré auparavant en enfilant l’anneau invocateur de tavernier(vers 44:52), coïncidence ou c’est l’ectoplasme réincarné ? :]
Bonne continuation et merci de continuer cette merveilleuse série !
JBXAuteur de l'article Administrateur du site
Merci pour ton message ^^
Concernant ta question, je pense que la réponse est liée à mes limites de renouvellement de mes voix de « petits vieux » ! XD
Autant celui du cimetière devait avoir une voix proche de celle du Général de Gaulle (requalifié en « Génie râle de Goule… »), autant les vieux juges n’avaient d’autre vocation qu’à avoir des voix de vieux ! Bonne continuation à toi 😉
Creator
Ah, Enfin !
J’ai déjà exprimé le fait que j’adore tes vidéos, mais aujourd’hui est jour de Gloire !
J’ai déniché une coquille dans ton oeuvre !
En effet, si Wrandrall as pu se téléporter de l’intérieur vers l’extérieur,
Pourquoi ne s’est il pas téléporté de l’extérieur vers l’intérieur ?
Je veux dire par la, esquiver l’escalier truffé de pièges cachés !
Et comme j’anticipe de même la possibilité de te trouver une solution, ça ne marcherai pas de dire que le fond du gouffre est trop sombre, car il a déjà réussit a revenir après être allé vérifier du haut du gouffre !
Euh… tu oublies un détail : Wrandrall a peur de se retrouver au fond du Gouffre TOUT SEUL !
Fiou, je suis fier de moi là, comme quoi trouver une erreur a ton Chef d’Oeuvre m’a demandé… 5ans ! ^^’
Et la psychologie des personnages ?! Hmmm ?!
Bon a part ça elle en est où ta prochaine oeuvre audio ?
*PIF*
Zer0
Je me suis ré-écouté Reflets d’Acide il n’y a pas longtemps et dans l’épisode 13, j’ai entendu quelque chose qui m’a ramené en enfance :
« Halte là, qui va là !? »
La phrase et surtout le ton me rende sur et certain que c’est une réference au film Babar : « Le triomphe de Babar » (qu’est-ce j’ai pu le regarder quand j’était petit ! *o*)
Ai-je raison ? ^^
C’est une coïncidence ^^ !
Azmurael
Je n’ai pas eu le courage de lire les 10 pages de commentaires pour savoir si ma question avait déjà été posée, je m’excuse par avance si c’est le cas. Cette question me taraude depuis quelques mois, je me dois de lextérioriser.
Que ce serait il passé, si Rwandral armé de son épée
Avait vilement téléporté, son père au milieu du couloir encensé ?
En réalité, pas grand chose : ce dernier aurait certes ressenti quelques douleurs mais il n’en serait pas mort…
Bélial aurait-il crié, hurlé ? Serait il décédé ? Se serait il ratatiné ? Rwandral n’aurait jamais eu cette idée ? Dois je arrêter les rimes en é ?
C’est toujours pratique de faire des rimes en « é » ^^
Sinon, un grand merci pour cette magnifique série, fine, pleine d’humour, de rire, de poésie, et foutrement épique. Continue comme cela !
Merci beaucoup !
isien
Salut JBX, je voulais te demander un truc : quand wrandrall fait sortir belial du gouffre, apres il se reteleporte. comment fait belial pour ressortir du gouffre parce que l’encens agit toujours si je ne me trompe pas ?
Lorsqu’il revient, Bélial est bien plus puissant et ne craint plus l’encens mais, qui plus est, il se téléporte grâce à son palefroi de la nuit, directement dans la salle se trouvant après le couloir encensé ^^