Quatrième de couverture :
Une « Quête Sans Nom », aux accents chaotiques, venait de commencer pour notre fine équipe : Wrandrall, l’instigateur, avait su enrôler de fiers aventuriers sans jamais dévoiler ses démones racines : ainsi, à ses côtés, évoluent désormais Zehirmahnn, Zarakaï, Enoriel et… Trichelieu ! Le quintette au complet continue d’avancer sur le parcours qu’indique le parchemin magique… On pressent un voyage assez initiatique qui précède l’accès au Gouffre énigmatique… À ce stade, ils font face à un cerbère ogresque mais verront, par la suite, quelques abords « grotesques » ! Viendront également des vols de chiroptères et des sourires simiesques, des soifs de vérités et d’échos altérés, une « castramétation » (i.e. L’art de mettre en place un camp… voyons !), un bivouac troublé, des gardes dégradées, une nuit agitée… BREF ! Les personnalités s’affichent, s’affirment, s’affinent tout au long d’un périple qui n’est là qu’un prélude aux affres souverains d’immenses turpitudes : un immonde complot se fomente en silence et de sombres « reflets » mûrissent leur vengeance… Les destinées s’emmêlent, les intrigues s’enchaînent, le Passé ressurgit, les trépassés… aussi ! Cette petite quête anodine et « sans nom » deviendra très bientôt une quête « INNOMMABLE »… en tout cas, il me tarde ! MOUAHAHA ! AH ah… eh… Hem !
BD disponible notamment chez PGM-Stuff, Amazon ou Fnac.com !
Explications concernant le titre de l’album :
– Un « Quintette » peut signifier un groupe de 5 personnes ou 5 musiciens ou une oeuvre composée pour 5 musiciens.
– Du coup, le mot « sol » prend un triple-sens : la note, la terre et la nature profonde d’un individu !
– « Quinteux » a deux sens intéressants : un usage rare signifiant « changeant » (entre le fleuve, la grotte et la clairière en pleine nuit… on peut dire que les décors changent !) mais c’est surtout dans le sens « colérique » ou « capricieux », comme le sont parfois les membres du groupe, qu’on pourra le comprendre.
Plusieurs significations en si peu de mots… CQFD, non ?!
Mou7
Salut JBX,
Je relisais mon tome 2 hier soir, quand j’ai remarqué une terrible incongruité ornithologique en page 28 : un coucou qui couve ! Or, les coucous sont des oiseaux « parasites », qui ne font pas de nid mais pondent dans ceux d’autres espèces, lesquelles couvent donc à leur place… Mais j’imagine que tout est possible au pays de Reflets d’Acide ^^
@+
Alys
Belle couverture; c’est exactement comme ça que j’imaginais Enoriel. Et on notera que Wrandrall se fout royalement du dopelganger, à un mètre dix de lui…
Il faut dire que son attention a été attirée par une remarque déplacée de Trichelieu (lequel semble mesurer quelque chose ! XD)